Vous m’avez donné le goût de la
méditation, de la prière, pour reprendre contact avec mon corps, en fait pour l’apaiser.
Je pense au souffle qui passe sur les lèvres, prendre le temps de ressentir ce
souffle. Vivre l’émotion plutôt que de « réfléchir sur l’émotion » en
ne tenant que d’y mettre des mots. Comme en ce moment où je mets en mots ce que
j’ai réalisé en lisant votre livre. Comme vous dites : « la réflexion
exaltée sur l’émotion, qui tâchaient de la détourner de sa fonction première,
de l’enrôler dans mon plan de carrière, de la muer en intelligence et en
écriture. » Ça me parle ces mots…
C’était une bonne réflexion et… en ce moment, j’ai
mal au ventre et je me dis que peut-être que moi aussi je dois cesser cette
lutte dans l’esprit. D’ailleurs, je viens de prendre la décision de ne plus
publier mon blogue sur la littérature. Je vais le garder pour moi. Donc pas de
censure. Je n’ai pas à divulguer tout ce qui se passe en moi… c’est intime
après tout, en autant que j’en prenne conscience.
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