L'histoire se passe à la sortie de prison alors que Clémence est sans le sous. Le menton vers le haut à frayer avec la haute, elle se retrouve face contre terre à laver des planchers. Quand on perd pied, on n'a pas idée de la hauteur de la chute. Mais se rendre témoin de la vie des gens chez qui elle fait le ménage lui confère une façon de se dépenser, de réparer sans n'attendre rien en retour. La liberté ne s'acquière pas avec le statut, mais bien lorsqu'on accepte d'être qui on est.
J'ai lu ce roman
en 2 jours. J'ai adoré.
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